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1952-2022. 70 ans de vie commune

12 août 2022
- -

A l’occasion des 70 ans de La Vie du Rail, nous avons demandé à nos lecteurs de nous raconter leurs souvenirs ou des anecdotes liés à leur hebdomadaire. De génération en génération, les témoignages que nous publions dans ce numéro reflètent tous un véritable attachement entre notre journal et ses lecteurs.

« 3744 revues devenaient difficiles à gérer »

J’ai lu avec intérêt l’article concernant le 70e anniversaire de La Vie du Rail. Petit-fils, fils et moi-même cheminot, plusieurs générations familiales ont exercé ce beau métier et ont été abonnées à Notre Métier puis à La Vie du Rail.

J’avais conservé précieusement les revues dont j’avais hérité et bien sûr celles remontant à mon abonnement personnel, au moment d’entrer à la SNCF, en 1972. Cette somme de revues retraçait ainsi la grande et aussi la petite histoire du rail en France et dans le monde depuis 1949, date des premiers numéros que j’avais gardés! Certains articles m’avaient d’ailleurs bien servi au moment de ma formation d’attaché et même ultérieurement au cours de ma carrière au service Exploitation.

Pour l’anecdote, je relate un souvenir amusant du début des années soixante. A cette époque, je fréquentais les colonies de vacances d’été de la SNCF (Samoëns, Antibes…) et, dans ces établissements, quelquefois un peu rustiques, les jeunes colons pouvaient trouver la collection complète des Vie du Rail reliés! Cela faisait notre bonheur, en particulier grâce à la dernière page comportant les dessins humoristiques! Mais peut-être que les dirigeants de l’époque pensaient que cette saine lecture pouvait donner des idées de carrière aux jeunes adolescents que nous étions…!

L’âge venant, le stockage et la conservation de ces 3744 revues devenaient difficiles à gérer et j’ai donc décidé de m’en séparer au profit d’une association gérant le musée du chemin de fer de Rettel, petit village au nord de Thionville, situé dans le pays des trois frontières (France, Luxembourg et Allemagne).

Laurent Courtade, le sympathique président du musée, par ailleurs cheminot en activité à Apach, s’est donc chargé de transporter le m3 de cet hebdomadaire précieusement conservé !

Cela n’a pas été sans un petit déchirement personnel car c’est toute une partie de l’histoire familiale qui a rejoint d’autres horizons, avec néanmoins la satisfaction de savoir que les chercheurs, les curieux ou tout simplement les amateurs, pourront y découvrir l’histoire des chemins de fer au travers de magnifiques photographies et d’articles superbement documentés.

Christian Antoine
Directeur honoraire de la SNCF
Ancien directeur régional de la SNCF en Lorraine

 

 

« La Vie du Rail et moi formons un vieux couple »

Entré à la SNCF en 1964, mon frère Marcel reçut, d’abord gratuitement puis au titre de nouvel abonné, l’hebdomadaire adressé en Ardèche que, célibataire, il rejoignait chaque fin de semaine. De cinq ans son cadet, je feuilletais la revue distraitement d’abord, ciblant ensuite les aventures des personnages d’Arfoll et la grille de mots croisés. Les pages intérieures « Sud-Est » représentaient toute une fresque de vie associative et familiale que je découvrais.

 

Approche initiale au bal des débutants

Pourtant en couleurs, les pages emplies de locomotives ou de « wagons » ne retenaient pas mon attention. A cette époque, je terminais peu glorieusement des études inachevées. Toute technologie professionnelle y était absente et, de toute façon, inintéressante à mes yeux.

« Fontaine, je ne boirai pas de ton eau » …

En 1965, mon frère me remit « le pain et le couteau » : à moi de me prendre en charge ! La réussite au concours de Rédacteur stagiaire me permit ainsi d’entrer à mon tour « à la Compagnie ». J’avais 19 ans et neuf jours. Je revois mes parents signer fièrement l’autorisation manuscrite nécessaire, puisqu’alors mineur.

Le printemps 1967 me vit recevoir à mon tour et à mon nom La Vie du Rail « adressée gracieusement toute la durée de mon service militaire ».

Ce seront de prometteuses fiançailles validées dès ma réadmission en septembre 1968 aux Ateliers d’Oullins-voitures. Le mariage fut contractualisé le 6 juillet 1979, date de délivrance de ma carte de correspondant pour cet établissement. Là, pendant une quinzaine d’années, je m’efforçai de faire connaître à tous les lecteurs de l’hebdomadaire la vie en atelier, témoignage d’une certaine reconnaissance envers les acteurs locaux, et ce quel qu’en fût le grade.

A une ou deux exceptions près, j’évoquai tous les départs en retraite. Chaque remise annuelle de médailles d’honneur des chemins de fer laissait sa trace dans l’histoire. Chaque manifestation ou performance sportive était couverte.

De superbes poireaux récoltés par un agent originaire de Haute-Loire furent honorés avec lui.

Mon seul regret était le délai de parution alors beaucoup trop éloigné de la date d’envoi. Pas d’internet et de pièce jointe! Sans compter le temps nécessaire au développement des photos, la pellicule était souvent laissée inachevée pour en gagner un peu.

 

Le couple fonctionnait bien

La journée « Portes ouvertes » du 7 mai 1983 fut une réussite en dépit d’une météo capricieuse: j’avais commandé et reçu un conteneur empli de produits de la boutique de La Vie du Rail qui eurent leur part de succès.

La même opération fut reconduite lors d’un week-end identique organisé par l’Association des modélistes de La Mulatière. Sur mon initiative, une collègue de bureau se vit remettre avant son départ en retraite en 1981 l’Ecu des bonnes relations dans le travail, conforté par la quasi-unanimité du personnel des Ateliers, signatures équipe par équipe à l’appui.

En 1993, une autre ancienne collègue des Ateliers, affectée au Centre Psycho de Lyon à leur fermeture, reçut le même témoignage. Deux années consécutives, en 1990 et 1991, j’eus l’honneur d’assister à la réunion des correspondants conviés par le -déjà- directeur, Vincent Lalu. Au tour des petites mains d’être reconnues et honorées!

Les quelques propositions d’articles ultérieures à cette fermeture furent aussi à chaque fois retenues, à la grande satisfaction des cheminots locaux alors quelque peu délaissés. Pourtant, comme dans tout couple, il y eut quelques désaccords. Une photo familiale regroupant en cinq générations une veuve de mécanicien de route et une épouse de contrôleur en activité ne parut jamais.

 

Première déception

L’article envoyé et retenu dans le numéro 2327 du 9 janvier 1992 pour l’annonce de la fermeture des Ateliers d’Oullins-voitures fut accompagné d’une photo qui n’était pas la mienne, mais celle prise par le correspondant régional lors de la journée « Portes ouvertes » ci-avant évoquée. Amère constatation!

Une grille spécifique de mots croisés adressée dans le cadre du deux-millième numéro n’eut pas d’écho. Naïve nouvelle déception.

En y regardant de (très) près dans les pages spéciales de ce numéro 2000 une loupe s’avérait nécessaire pour entrevoir le nom, écrit en toute petite police, de Roger Ferlet, le fondateur non avoué de La Vie du Rail. Etonnement et consternation: Pourquoi ? ! Il reçut en juin 1966 le diplôme du Prestige de France attribué à l’hebdomadaire qui pouvait alors fièrement afficher 250000 abonnés. Combien sont-ils -sommes-nous- aujourd’hui ?

En 2019, en parcourant à plusieurs reprises l’ouvrage 80 ans de SNCF racontés par La Vie du Rail, je ne l’y trouvai tout simplement pas. Pas davantage dans ce dernier exemplaire paru, le numéro 3874. Avons-nous à ce point la mémoire courte ? Réhabilitation! Enfin, la coquille qui m’affecta page 39 du numéro 3718 et qui devait « faire l’objet d’un rectificatif à paraître dans le prochain N° » ne fut jamais rectifiée. Désillusion… Mais je ne suis pas d’une génération qui divorce facilement. Après 55 années d’abonnement, je vais encore rester fidèle à La Vie du Rail.

Maurice Gauthier

 

 

« Il n’y a que le Rail »

C’est ce que disait le facteur à mes grands-parents maternels quand il ne déposait que ce courrier. C’est chez eux, de par mon grand-père cheminot, que je connais le magazine. Il y avait le porte-revues qui lui était entièrement dédié.

A la perte de mon aïeul, je reprenais le flambeau sur l’abonnement et, à mon tour, je transmettais à la lecture pour ma grand-mère. Ne pouvant travailler dans le milieu ferroviaire, sa lecture m’y fait immerger et je ne m’en lasse pas. A bientôt mes 50 ans, je peux dire que La Vie du Rail partage ma vie. Et je ne souhaite qu’à le transmettre à mon petit, mais j’espère ne pas attendre l’âge de 70 ans pour pouvoir le faire.

Emmanuel Prouteau

 

« Je fête mes 60 ans d’abonnement à La Vie du Rail »

Mon premier abonnement remonte au mois de février ou mars 1962, quand j’habitais à Paris. J’étais en stage chez la Compagnie de machines Bull, pour un des plus grands systèmes numériques (à transistors) de l’époque, installé aussi à la SNCF. Je suis parti vivre en Italie et finalement je découvris la possibilité de le faire chez la Délégation Fret SNCF, à Milan: et voilà mon deuxième et abonnement courant datant de 1967, et avec tous les numéros collectionnés.

Antonio Manzoni

 

 

« Souvenirs »

En octobre 1952, à mon entrée au Centre d’apprentis du dépôt de Chambéry en Savoie, je me suis abonné à La Vie du rail – Notre Métier. « La rupture militaire » en Algérie ne fut que partielle. En effet, lors de relâches de notre escorteur dans le port de Bône (Annaba), j’allais acheter mon journal préféré à la gare CFA de la ville. Bien que n’étant pas collectionneur, je conserve quelques numéros spéciaux de LVDR et certaines plaques de constructeurs de matériel ferroviaire. Entre autres, la plaque de la première BBB diesel, livrée à Madagascar en 1939 par Alsthom.

Partageant les regrets de votre lecteur du numéro 3874, j’apprécie beaucoup moins le sabir anglo-américain qui émaille souvent vos articles, excellents par ailleurs. M’intéressant toujours à tous les transports sur rail, je suis néanmoins fier d’avoir appartenu à l’équipe qui a sauvé la monumentale rotonde SNCF de Chambéry et la locomotive électrique 2CC2 3402 de 1929.

Jean-Paul Vincent

 

 

La Vie du Rail, un « ami » pour la députée européenne Fabienne Keller

« J’ai découvert La Vie du Rail en même temps que je découvrais le monde du train et l’incroyable attachement des cheminots », raconte la députée européenne Fabienne Keller.

Elle se rappelle avoir eu « la surprise » de voir passer des TGV d’essais sur la plaine d’Alsace « car c’est la ligne la plus droite de France ». Puis, alors maire de Strasbourg (elle est élue en 2001), elle a « l’honneur d’accueillir le TGV Est ». L’édile, qui s’intéresse depuis longtemps à l’organisation de la desserte de sa ville et au rôle de la gare, en quelque sorte « le centre du village », a toujours suivi de près les questions liées aux transports. Elle apprécie la gare de Strasbourg, « d’une belle modernité avec sa verrière et son espace apaisé », conçue par l’architecte Jean-Marie Duthilleul, qui a créé avec Etienne Tricaud, l’Agence AREP dans le groupe SNCF.

Très tôt, La Vie du Rail l’accompagne et lui donne la parole, poursuit-elle. Notamment à propos des gares, objet d’un rapport dont on se souvient encore. « Le journal La Vie du Rail est un ami ! Un ami de la transition écologique, qui nous accompagne avec son point de vue à la fois très humain et technique ».

 

 

« J’ai connu La Vie du Rail au Salon de l’Enfance »

J’ai 62 ans, et j’ai connu La Vie du Rail à la fin des années soixante, début 70 à l’occasion du Salon de l’Enfance à Paris. La Vie du Rail y tenait un stand et proposait un abonnement gratuit pendant quelques semaines. Ma maman qui m’accompagnait à ce salon, et connaissait ma passion pour les trains profita de cette aubaine pour m’abonner à cette revue. Nous n’avions pas beaucoup d’argent pour un abonnement permanent.

J’ai conservé ces quelques numéros et, d’ailleurs, j’ai toujours en mémoire quelques photos et articles de l’époque qui ont marqué mon enfance parisienne: le Métrazur au milieu des mimosas, des photos hivernales dans la vallée du Rhône où « seuls les trains passaient » -les autres voies de communication étant bloquées par la neige-, une photo de couverture d’une CC 21000 illuminée par des projecteurs multicolores, etc.

Dès mon entrée à la SNCF où j’ai fait carrière, c’est tout naturellement que je me suis abonné à La Vie du Rail, cette fois-ci de manière permanente. Maintenant à la retraite, je suis toujours abonné.

Michel Pierre-Bez

« Continuez ! »

Je reçois cet hebdomadaire avec un plaisir réel, comme une vieille connaissance sympathique et attachante. Car il me parle d’un milieu que je connais bien, de son actualité, son évolution, des hommes du rail, des matériels nouveaux, des nouvelles lignes, des projets, de l’évolution du trafic ferroviaire que je souhaite voir se développer. Car aujourd’hui, le chemin de fer peut avoir un rôle qu’il n’a pas eu jusque-là, ou plutôt que l’on ne prenait pas assez en compte, celui de permettre des transports de voyageurs et de marchandises avec un minimum de nuisances pour l’environnement, ce qui devient un sujet pressant. Et La Vie du Rail rapporte des avis de la direction de la SNCF, et d’autres, qui mettent en valeur cet aspect très important pour la promotion du rail. Et le journal doit continuer ses informations dans ce sens, pour convaincre tous les lecteurs. Bien sûr que les cheminots le sont déjà, et depuis toujours, mais il faut informer inlassablement les milieux politiques et économiques de cette réalité.

Parfois j’ai mal, quand le journal reflète la colère qui gronde dans les têtes des syndicalistes, et que le trafic est perturbé, ce que j’ai du mal à accepter. Car c’est toute l’image du chemin de fer qui est alors pénalisée par un manque de fiabilité dans la durée. Et les clients du rail vont voir ailleurs pour satisfaire leurs besoins de transport, et ça me fait très mal moralement. Oui, dans ce cas, mon attachement à la prospérité du ferroviaire est blessé. Alors, il reste l’espoir de jours meilleurs à venir, avec cependant souvent un bilan négatif que se doit de présenter notre hebdomadaire pour une information complète. La Vie du Rail, une lecture depuis toujours pour moi, source d’un attrait jamais démenti pour le milieu ferroviaire. Continuez !

Maurice Genty

« Merci d’accorder de la visibilité au monde associatif cheminot »

Je ne doute pas que de nombreux cheminots auront des souvenirs à partager avec votre revue, mais, si je me permets de vous envoyer ces quelques lignes, ce n’est pas pour évoquer l’un ou l’autre des numéros de votre publication qui me restent en mémoire (il y en a !). Ce sont les « concordances historiques » entre votre revue et l’association que j’ai eu le plaisir de présider durant une petite dizaine d’années et à laquelle, en tant que vice-président et rédacteur en chef de sa revue depuis 2013, je continue de participer: le Cercle littéraire des écrivains cheminots, le CLEC, que je voudrais mettre en avant.

Venons-en au fait, au point de départ ! 1951 : le premier concours littéraire est organisé sous l’égide de Marcel Mollion, président-général de l’UA(I)CF, et de ses collaborateurs de la commission de littérature. Notre métier en diffuse le règlement, quatre sections sont proposées: poésie classique, poésie libérée, prose et théâtre. La remise des prix aux lauréats a lieu le 17 novembre 1951. Les résultats sont publiés dans le numéro 327 de Notre métier, en décembre 1951. Henri Vincenot, journaliste et illustrateur de la revue, avait obtenu le premier prix dans la catégorie Théâtre.

Dès 1952, une bonne partie des lauréats veulent donner une suite à cet évènement: ils décident de mettre sur pied l’Association des écrivains cheminots, AEC. René Lestage (René Violaines, en littérature) prend les rênes de l’association. Maurice Genevoix, de l’Académie française, accepte d’en être le président d’honneur.

Tandis que Notre métier devient La Vie du Rail, l’AEC publie un bulletin périodique. En fin des années 1960, il se transforme en bimestriel, et prend pour titre Le dévorant, hommage à Étienne Cattin. Plus tard, mais c’est une autre histoire, viendra Le nouveau dévorant, à parution trimestrielle. Ainsi, peut-on affirmer que votre revue et notre association ont en commun une même année de naissance, la première ayant aidé la seconde à prendre son envol.

Et puisque les anniversaires sont l’occasion des congratulations et des félicitations, j’en profite pour vous remercier de la visibilité que vous accordez dans vos pages au monde associatif cheminot. Il reste dynamique, malgré toutes les difficultés qu’il rencontre et que la seule pandémie ne suffit pas à justifier.

Philippe Deniard, vice-président du CLEC

 

 

 

«Le journaliste avait été clairvoyant avec moi »

Votre article sur Tireo Marcilloux de La Vie du Rail n° 3874 me fait réagir, car il m’a rappelé un article du n° 1522 paru en décembre 1975, il y a presque un demi-siècle.

Le journaliste avait été clairvoyant avec moi puisque, effectivement, je suis entré à la SNCF comme cadre en janvier 1982, et que j’ai pris ma retraite en juillet 2019.

C’est mon grand-père qui, en m’emmenant à la sortie de la gare de Nice voir passer les trains (à vapeur!) m’a sans doute donné le goût du ferroviaire (mais lui travaillait chez EDF).

Après une école d’ingénieur et mon service militaire (les temps ont changé!), j’ai eu la chance d’être embauché à la SNCF et de suivre une formation de jeune cadre «Transport» qui couvrait à la fois la partie Exploitation (gares, triages, horaires, commercial Voyageur et Fret) et la partie Traction (nous suivions même une école de conduite et conduisions à notre compte pendant quelques semaines). Formation qui ne pouvait exister que dans une entreprise intégrée!

Après cette formation, faite sur la région de Montpellier, j’ai eu un premier poste de Chef de Dépôt Mouvement à Villeneuve-Saint-Georges, gérant conducteurs et locomotives. Puis passages en gares, circonscriptions d’exploitation de Culoz à Perpignan et finalement j’ai, comme le pressentait votre journaliste, été chef de PC (à Lyon en 1992-1994), pour la mise en service de la LN4, commandée depuis ce PC. J’ai ensuite eu la chance d’aller travailler à Systra en deux périodes séparées par un passage à la Direction de l’Ingénierie. J’ai participé à plusieurs projets de LGV (CTRL, Floride, Corée, Taiwan), divers autres (dont la gare de West Kowloon Terminal à Hong Kong), et j’ai même passé quatre ans en expatriation au… Venezuela. Avant de revenir à la Direction de la Circulation Ferroviaire, puis à la Direction de l’Exploitation de SNCF Réseau. Je m’y suis, entre autres, occupé de la mise en exploitation du PAI de la gare de Lyon, puis de robustesse.

Bien que retraité, je n’ai pas complètement décroché et assure de temps à autre des formations pour l’Institut d’Exploitation Ferroviaire, et attends chaque semaine mon exemplaire de La Vie du Rail!

Loys Vautherin

 

 

 

 



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2 Commentaires

  1. Güntürk Üstün 14 août 2022 18 h 43 min

    Vie du Rail pour toujours… Vie du matériel roulant… Vie des cheminots et des ferroviphiles… Vie de la science, de l’art et de la culture… Vie de la liberté, de l’égalité, de la fraternité et de la créativité positive… Vie de la francophonie et de la francophilie… Vie d’apprentissage à nouveau… Vie du Rail pour toujours.

  2. Güntürk Üstün 15 août 2022 0 h 20 min

    Depuis janvier 1952, La Vie du Rail poursuit son aventure épique de publication sans faille avec avec un lectorat fidèle de 7 à 77 ans. Le secret professionnel de sa réussite? Être estimable et digne de confiance, bien entendu!

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