L’idée est évoquée depuis 2015 par des associations, communautés locales et indigènes : l’adoption d’un traité de non prolifération des énergies fossiles. Elle a été reprise lors de la Cop 27, qui s’est déroulée du 6 au 18 novembre à Charm el-Cheikh, en Egypte. Les pays signataires s’engageraient à ne plus ouvrir de nouvelle mine de charbon, à ne plus délivrer de nouveau permis d’exploitation et d’exploration de gisements pétroliers et gaziers, et à ne pas autoriser l’extension des sites déjà existants. Une copie version verte du traité de non-prolifération des armes nucléaires, entré en vigueur il y a 52 ans en 1970 et signé par 190 États. Pour lutter contre cette nouvelle menace pour l’humanité.