La part de Bombardier sera de 60 %, contre 40 % pour Alstom. L’entrée en vigueur de ce contrat, avec son montant définitif, attend « que les étapes habituelles d’approbation du financement [soient] complétées », ce qui mettra fin au feuilleton du renouvellement du métro montréalais. Après une attribution de gré à gré à Bombardier contestée par Alstom, la formation d’un consortium regroupant les deux industriels, la candidature de CAF et une proposition sans pneus du chinois ZELC, la STM a exigé un produit à « 60 % de contenu canadien », dont « l’assemblage final aura lieu au Canada ». La rame prototype doit être prête en juin 2013 et sera suivie par les livraisons de la commande de base qui doivent s’étaler de février 2014 à septembre 2018.