Il y a trois ans, Japan Railways, compagnie de chemin de fer privatisée depuis un quart de siècle, décidait de ne pas rayer de la carte de son réseau ferré la gare de Kami-Shirataki, située tout au nord du Japon, dans l’île d’Hokkaïdo où aucune compagnie ferroviaire ne gagne de l’argent. La raison : permettre à une lycéenne de continuer à se rendre à l’école jusqu’à l’obtention de son diplôme. L’adolescente a entretemps obtenu l’équivalent du baccalauréat. Et Japan Railways a fermé sa gare. Aujourd’hui, les médias japonais saluent le geste de la compagnie de chemin de fer à rebours de toute logique économique.
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