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© SNCF Réseau

La gare Matabiau, à Toulouse, qui date du début du siècle dernier est inscrite à l’Inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis 1984. Ce qui nécessitait une réfection de la marquise à l’identique.

Restauration de la marquise de Toulouse-Matabiau. C’est tout un art !

20 mai 2021
- -
Par : Yann Goubin

La marquise de la gare de Toulouse-Matabiau avait besoin d’être rénovée. Pour effectuer ce travail « à l’ancienne », Gares & Connexions a fait appel aux savoir-faire des agents SNCF qui réparent les ponts métalliques du réseau comme autrefois, par rivetage à chaud.

« C’est rare que nous travaillions pour Gares & Connexions », constate Loubje Naumceuski, le chef de l’équipe Réparation des ponts et ouvrages métalliques (RPM) de SNCF Réseau qui a restauré la marquise de la gare Matabiau à Toulouse. « Nous avions déjà réparé un poteau de gare, à Nice, qui était attaqué par la rouille à sa base », poursuit Loubje Naumceuski, que tous ses collègues surnomment Charly « à cause du footballeur Charly Loubet », un ancien international français qui a joué dans les années 60 – 70.

Le coeur de métier des équipes RPM, c’est évidemment les ponts métalliques. « Il y en a encore des 7 000 à 8 000 sur le réseau ». Mais, la marquise de Matabiau, qui date de 1905, a été construite de la même manière que les ponts en métal qui jalonnent le réseau. Notamment dans la manière d’assembler les pièces de métal, avec de rivets posés à chaud.

Sur le principe rien n’a changé depuis le XIXe siècle. On utilise une tige d’acier de quelques centimètres dont on a façonné l’une des extrémités pour former une sorte de clou.

L’autre extrémité est aussi aplatie à chaud, pour maintenir entre elles deux pièces métalliques préalablement percées de trous. Si, à l’origine, les premiers rivets ont d’abord été façonnés à l’aide de marteaux, ceux-ci ont rapidement été remplacés par des outils pneumatiques, qui permettent la pose d’un nombre beaucoup plus grand de rivets.

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